vendredi 27 janvier 2012

Unspoken


Unspoken

Unspoken words, unspoken thoughts dancing in the air.

Unspoken wishes in your heart.

White, blue, beige, cotton, and silk

Unspoken words, running thru my head to stop boredom.

I let my eyes wandered thru the room and then, there were you, the world stood still for a split second.

Unspoken were the words but we knew, we just didn’t want to accept yet.

Unspoken were my looks when I return my attention to you, good you were talking to someone.

Unspoken were your gaze upon me but I felt it like an electric jolt across the room

Unspoken was my answer when they introduce you to me but my heart, my body, my soul were already yours.

Unspoken were the notes of the songs they were playing because our hearts were singing our song, our melody it was magic.

Unspoken was the need but I felt the urge, I felt the need to be closer to you and I happened, you took me in your arms and it was the right place to be.

Unspoken was your wishes but I knew, I understood and I complied.

Unspoken were your orders but no one approach me from this moment.

Unspoken was again the words but you followed me to the right path.

No words need to be said when true love happens, it’s rare and it last for eternity.

By : Natacha Gomez

Haiti








Emerantes de Pradines

Emerantes de Pradines




1928
Chanteuse, danseuse, actrice…, elle s'est révélée, ici autant qu'à l'étranger, plus qu'un témoin, l'une des zélées protagonistes d'un mouvement culturel en pleine affirmation.
Fille du chanteur-compositeur haïtien Auguste de Pradines, Ti-Candio, Emerante, pour n'avoir connu, dès son plus jeune âge, qu'une chaleureuse atmosphère artistique entretenue dans la maison familiale et pour avoir eu par ailleurs, très jeune, le privilège, rare à l'époque de se frotter à la culture populaire et au vodou, vit et laisse à voir son parcours comme tracé d'avance.
Souvent enfant, Emerante chantait avec son père. Aux acquis gagnés à cet environnement de poésie, de musique et de danse viendra se greffer une formation musicale parfaite sous la coupe de Lina Mathon-Blanchet et avec René Bélance comme introducteur de chant. Ainsi donc, à 10 ans déjà, sans peine aucune, elle fait ses premières prestations à la radio en récitant des poèmes dans une émission culturelle. Plus tard, autour de 1942 - 1945, une présence assidue sur scène la donne à apprécier aux côtés des acteurs les plus réputés et dans les grandes pièces de l'époque dont Fifine et Toutou, La Famille des Pitite-caille, Lococia, Sanite Belair de Jeanne Perez (où elle chantera sa première chanson vodou sur scène), Le Baiser de l'Aïeule de Dominique Hyppolite, Barrières de Dorsinville(1)... C'est aussi à cette époque que répondant aux invitations répétées des représentations étrangères en Haïti, notamment celles des USA, du Chili, de France…, Emerante de Pradines s'y produira dans des spectacles de danse ou de chant (où se révélera d'ailleurs le talent de Martha Jean-Claude qui l'accompagnait souvent en seconde).
De toutes ces sollicitations, c'est pourtant la danse qui, semble alors gagner le cœur et l'avenir d'Emerante. En 1947, une première bourse d'études l'amène à New-York, à l'Ecole de danse moderne et primitive de Katherine Dunham où elle apprend puis enseigne la technique Dunham que, bientôt après, de 1950 à 1954, elle introduit en Haïti avec la fondation de La Troupe haïtienne de danse. Dans l'euphorie et la fièvre qu'on connaît à cette époque, elle sera également membre et actrice de la Société Nationale d'Art Dramatique, directrice de la section féminine de la Troupe folklorique nationale (elle y rencontre Lumane Casimir pour la première fois en 1952) et trouvera de temps du reste pour l'animation de l'émission radiophonique «L'heure de l'Art».
En 1954, une deuxième bourse de la Fondation de Parapsychologie ravira à Haïti, et pour plus d'une trentaine d'années cette fois, la dynamique Emerante. De retour à New-York elle poursuit ses études sur les techniques de danse moderne à l'Ecole Martha Graham et entreprend des travaux en Anthropologie à Columbia University où elle rencontre et épouse le Professeur Richard McGee Morse. A Porto-Rico, où elle est appelée à l'Inter American University en 1960, pour la mise au point d'un curriculum de danse, plus tard, à New Haven (Connecticut) où elle fonde et dirige pendant près de vingt ans une école de danse, Emerante mènera une carrière artistique et professionnelle dont, dans son pays, on parlera que peu même à son retour définitif à la fin des années 80.
Depuis 1993, Emerante de Pradines dirige avec son mari, l'Institut haïtien de l'Amérique Latine et des Caraïbes qu'ensemble ils ont fondé et qui se propose d'étudier la culture et les institutions de la Caraïbe tout en établissant un service d'échanges et de coopération entre les pays de la Région.
Concerts:
New-York, Boston, Los Angeles, San Francisco, Montréal, Québec, et New Haven (Connecticut)
Disques:
Voodoo
Original Meringues (Remington)
Creole Folk songs of Haïti (Folkways Records)
* Basé sur l'interview de Emerante de Pradines par Peter Anderson Saint Fleur.
(1) Georges Corvinton op cit, p234 et suiv.


www.haiticulture.ch, 2005
Geneva - Switzerland

Women of Haiti... A better Future: Dreams……

Women of Haiti... A better Future: Dreams……: Dreams…… One day, I heard your footsteps, by the sounds of the sole of your shoes were making, I could tell which mood you were i...

Dreams……


Dreams……

One day, I heard your footsteps, by the sounds of the sole of your shoes were making,

I could tell which mood you were in.

A cold sweat ran thru my spine, like oil on a hot skillet, you were not happy, actually you were furious and I started trying to remember.

Were your black shoes next to the browns with strings or not? Are all the shirts were arrange right? From the darkest colors to the lightest?

Was everything ok?

I sensed a shot of hot wave that made my body shiver, you just entered the room!!!

And now I’m counting slowly 1, 2, 3,4,5,6,7,8,9, oh God its 3 pm already,

The tenderloin must be dry now like a cowboy hat, hope this time it will not be my grandmother tea pot that you will throw across the room, I still bear the scars of that hot coffee on Valentine’s Day.

Not a word had been said but I know something was boiling, waiting to erupt.  Like a trap animal I could sense danger, fear took over me, I couldn’t even think straight.

You took my long ponytail with both hands and start pulling; I saw stars and fell at your feets.

I wanted to cry for help but couldn’t, who will come, who will believe what I would say, you, look like the perfect man to be with.

I woke up screaming from that dream, I had that sensation of wanting to run and hide and I remembered and I start to smile.

I looked at the bed and saw your note saying that you loved me.

For a brief moment I panicked maybe I was still dreaming!!!

Dreams sometimes try to warn   us of danger, my nightmares started when I met you.  

I thought that dreams were the enemy, not you I was so wrong, and I was avoiding the truth, hiding my scars from and for you.

When reality strikes theres no place to hide, you have to embrace it, talk and say to the world NO More Violence against women!!!

By : Natacha Gomez

Haiti


Sophia Martelly

A Propos de Sophia Martelly
Sophia Martelly
Coordonnateur / Fondateur
Très jeune, Sophia Martelly, s'intéressait déjà aux démunis de façon bénévole. Elle prêtait ses services à l'Hôpital Providence des Gonaïves.
Durant plus de dix sept ans elle a tenu ses engagements envers les pauvres, les démunis, les laisses pour compte.
On la voit a la période de Noel distribuer des repas chauds a plus de deux cent démunis; des jouets a plus de cinq cent enfants issus de familles pauvres; des articles de toilette a des femmes de condition précaire.
Pour elle, la solidarité active, concrète rend les gens meilleurs.
En 2004, elle a initié et organisé avec le soutien de son mari, la Amcham et le PADF, un téléthon qui a recueilli plus de onze millions de gourdes pour les victimes des inondations de mai 2004 a Mapou et Fonds Verrettes.
En Novembre 2008, elle a été honorée par le Président René Préval avec la plus haute distinction : «Ordre National Honneur et Mérite au grade de Chevalier», pour son implication, son soutien inconditionnel aux victimes de l'effondrement de l'Ecole de Nerette a Pétion Ville.
Au sein de la Fondation Rose Et Blanc (FRED), dont elle est la coordonnatrice et co-fondatrice ; son altruisme, son esprit d'ouverture et sa disponibilité lui ont permis de prouver une fois de plus son engagement.
Douée d'un sens aigu de l'organisation, cumulant les rôles de mère, d'éducatrice, d'épouse et de responsable de cette Fondation, elle s'évertue à donner le meilleur d'elle même.

Ertha Pascal-Trouillot

Ertha Pascal-Trouillot




« Depuis très jeune, j'ai beaucoup travaillé; j'avais comme une rage de travailler. C'est comme si je voulais porter le monde sur mes épaules...»
Hasard? Exigence savamment cultivée? Telles sont les interrogations qui viennent à qui ne fait que se pencher sur la particulière évolution de Me Ertha Pascal-Trouillot. D'abord de brillantes études classiques où, toujours en tête de classe, elle n'en finit pas d'en imposer à ses camarades de groupe (plutôt des hommes, avoue-t-elle), études au bout desquelles elle s'oriente vers la mécanographie (1969), complément de formation à ce qui sera sa vraie profession : le Droit. Deux ans plus tard, en effet, en août 1971, elle se retrouve de la promotion sortante de l'Ecole de Droit des Gonaïves. Celle-ci frappée des exigences fraîchement instituées d'un mémoire de sortie, Ertha Pascal sera la première étudiante, avec un brio et une assurance qui épateront le doyen lui-même, à soutenir ce mémoire autour d'un sujet pour le moins passionnant: le Statut juridique de l'Haïtienne dans la législation sociale.
S'écartant également de cette ornière qui, depuis 1929, année de leur admission à l'École de Droit, voit le Droit se confiner pour les femmes à une discipline d'appoint, Ertha Pascal prête aussitôt serment en qualité d'avocat du barreau de Port-au-Prince et «affrontant avec courage des confrères blanchis dans le métier, (...) affirmant de plus en plus sa spécialisation dans les affaires du Travail, de Droit de la Famille et des problèmes de l'Etat civil» plaide devant toutes les juridictions des tribunaux (tribunaux de paix, tribunaux civils, cour d'appel, Cour de Cassation). Cette brêche ouverte dans le monde très fermé des Hommes de loi, initie une fructueuse carrière qui la retrouvant comme première femme membre du Conseil de l'Ordre des avocats du barreau de Port-au-Prince (session: 1977-1979), consacre également Maître Ertha Pascal Trouillot, première haïtienne juge au tribunal civil de Port-au-Prince (janvier 1979) — en France, il a fallu attendre 46 ans entre les premières inscriptions de femmes au barreau et l'ouverture du concours de la magistrature à une femme —, première femme juge à La Cour d'appel (septembre 1985), puis à la Cour de Cassation (novembre 1986).
Entre-temps, dans de multiples congrès, séminaires et conférences, par la publication - seule ou quelquefois en collaboration avec son époux, Me Ernst Trouillot - de relations de voyage, détudes ou de résultats de recherches, on assistera chez Me Ertha Pascal-Trouillot à l'évolution de positions de plus en plus nettes et tranchées où la femme haïtienne fait indéniablement l'objet de préoccupations premières. Exception faite évidemment de Madeleine Sylvain-Bouchereau, analyste autant que fer de lance d'un projet de révision du Code civil tenant compte des discriminations faites aux femmes, Ertha Pascal-Trouillot demeure encore en effet la seule femme de loi à se tailler une notoriété par une militance assidue dans ce domaine.
Me Ertha Pascal-Trouillot se refuse néanmoins à toute casaque féministe: «Je suis avant tout une femme professionnelle. Je n'ai jamais voulu militer dans aucun groupe de femmes». On lira pourtant, en introduction à son livre Retrospectives... Horizons: «C'est dans le souvenir de ces gloires nationales (femmes haïtiennes ayant combattu pour la libération d'Haïti) et dans la fervente solidarité avec l'esprit et la vaillance des efforts et résultats des groupements féministes, des associations féminines et de toutes celles qui œuvrent pour l'émancipation de la femme, que nous offrons respectueusement ce nouvel ouvrage». C'est de cette même femme qu'une consœur opine ainsi : «ses études, ses interventions, ses travaux portent tous assidûment sur le même thème, la défense des droits de la femme haïtienne à travers des sujets aussi épineux que le droit de la femme à la contraception, le droit des concubines, la reconnaissance légale des enfants illégitimes, l'extension des droits et capacités de la femme mariée, la rupture de promesse de mariage...», tout ceci évidemment sous-tendu à l'engagement fondamental de «faire progresser le Droit, l'adapter aux conditions de la vie moderne, lui faire franchir en quelques années, quelques siècles»(1).
L'active carrière de Me Ertha Pascal-Trouillot la verra également figurer comme première femme (à date la seule) à la présidence d'Haïti, fonction qu'en qualité de juge à la Cour de Cassation, elle se retrouvera à assumer durant onze mois, du 13 mars 1990 jusqu'au 7 février 1991.
Autres activités et distinctions:
- Lauréate de l'Alliance francaise (1965)
- Ex-membre de la section féminine (défunte) de la Commission de refonte du Code civil haïtien.
- Membre de l'Association des écrivains de langue francaise.
- Membre de l'American bar association de Washington.
- Membre de l'Association internationale des juristes (Paris)
- Professeur de Droit usuel dans divers collèges.
- Conférencière de 1971 à nos jours à Port-au-Prince, Washington, Virginie, Montréal, Rome, Caracas, Paris, Ottawa, Abidjan, Fort-de-France, Danemark, et depuis 1994 dans différentes villes du Japon sur Le rôle des femmes dans le développement économique des sociétés, La femme dans la vie sociale, L'économie haïtienne, etc.

Publications:
1973: Statut juridique de l'Haïtienne dans la Législation sociale
1978: Code de lois usuelles, en collaboration avec Ernst Trouillot.
1980: Rétrospectives... Horizons
1981: Au grand boulevard de la Liberté
1982: Analyse de la Législation révisant le statut de la femme mariée
1990: Code de lois usuelles
A paraître:
- Cahier juridique de l'enfant et de la famille
- Dictionnaire biographique d'Haïti, en collaboration avec E. Trouillot.
* Basée sur notre entrevue avec Ertha Pascal Trouillot (Septembre 1995)
(1) Francoise Fleury-Mazeau, avocat de la Cour de Paris dans sa préface à Rétrospectives et Horizons.


www.haiticulture.ch, 2005
Geneva - Switzerland

Women of Haiti... A better Future: You know …..

Women of Haiti... A better Future: You know …..: You know ….. You know when you in peace when you remember past bad relationship and you smile because it’s over. Because life is ...

You know …..


You know …..

You know when you in peace when you remember past bad relationship and you smile because it’s over.

Because life is too short and too grand to let one person brings you down.

You know when someone is hiding is fears, because you’ve been there and you know the exact word to comfort.

Because life is too short and he doesn’t have to be small.

You know when things, your actions, all you believe in are taking, are falling into their right place.

Because you know life is too short to think small.

You know when it doesn’t have to be love to feel good being with someone, to appreciate all that is coming to you.

Because life is too short to limit yourself, to limit your wishes,.

You know when to forgive, because life is too short to waste time on details.

You know when to let go, to let it flow because nature knows, time will stop, angels will smiles, when the time, when reality, when aspirations, when life will begin

Because life is too short to be not spending it with the ONE that you love…..

By: Natacha Gomez

Haiti


dimanche 22 janvier 2012

Happiness....


Happiness is watching this view you sent me, sharing it makes me want to breathe

         The same air that you breathe, looking at it thru your eyes, seeing it with the window of

         Your heart.

Happiness is reading you, reading the way you call me, spelling out all the letters like a little kid,

                   And that reminds me of the sound of your voice when you speak to me, when I close

                   My eyes and just listen to   the music of   your voice.   

Happiness is lying in your arms and I let it flow , better than the shrink you listen, you understands , you comfort and I thank God for all those blessings , for this moment  , me ,

You, the silence, the stars watching, the angels looking down upon us.

Happiness is when you read between the lines and you know, when, how, and where    .

You put the fun in spending couple time for that I will always be your partner thru thick and thin.

Happiness is when I wish and it happens, when you anticipate my needs and share my dreams,

One bite a time we’re going thru this life, we’re constructing and building our little nest and work for a better future and a better world.

Happiness , is when I hear you laugh at my jokes , its watching those laugh lines in the corner of your eyes , it makes me feel alive and in those moments I forget about all the bad memories and all the weight of the world sorrow disappears.

Happiness is watching you sleep like a baby , in these moments the true you shows even more , it’s almost palpable the goodness you have in you, the gift of spreading joy around you , the snoring makes me smile , I  know when you wake up.you will just turn your head toward me , smile and my day will  start. 

Happiness is watching you acting like my bodyguard, checking on me, protecting me against everything that may come. Being able to lean on you, to count on you makes me want to be a better person. That is the way, the good way; we’re making the foundation of our relationship. Trust is not given, trust is earned and we will cherish that. It’s easy to look cool; it’s not that easy to act cool.

A million starts with one, so one day at a time for millions of years. I Will Love You.

By : Natacha Gomez

mercredi 18 janvier 2012

Women of Haiti... A better Future: L’Oubli...

Women of Haiti... A better Future: L’Oubli...: Gouttes d’argents, Mercure de ma vie, Folie de printemps, Clair de lune argenté. A ces brides de souvenirs, je me. rattachais … ...

L’Oubli...

Gouttes d’argents,

Mercure de ma vie,
Folie de printemps,
Clair de lune argenté.
A ces brides de souvenirs, je me. rattachais …
Comme un papillon paralysé
D'une flamme, les ailes brulées.
L’accident a tue la lumière de mes yeux.

Mais, n’ai-je pas toujours été aveugle ?
Ceinture dorée, paroles d’or.
Ne dit-on pas que celles des anciens le sont ?
Mes lèvres scellées tel un masque Vénitien.
Figées sur le non- dit.
J’aurais aimé tellement crier NON à la face du monde.
Mais, ai-je toujours eu droit à la parole ?
Loukoum ,baklava, Reine abeille.
Lune de miel, je souris, je rêve.
Promesses non tenues.
Espoir d’un lendemain meilleur toujours en attente.
Comme une rengaine.
Un refrain éternel de mots doux ,
Les notes de cette chanson d’amour.
Elles s'envolent loin
Puis reviennent mourir sur mes lèvres.
Je secoue la tete, Je souris.
Ai-je- jamais connue l’amour ?

Vermeille, la tache de vin.
Cramoisie les gouttes de sang
Je les regarde s’écouler de la douleur de mes plaies.
Comme un drapeau rouge,
Devant un taureau furieux, agite
La révolte se dechaîne, gronde...
Ma poitrine s’enfle pour pouvoir pousser enfin ce cri de guerre.
Pour sonner le glas sur les ennemis.
Rebeller contre ce nouveau coup du sort.
Et de ces chaines, liberer mon âme.
Mais, ai-je jamais été libre ?

Terre de feu, mère nourricière,
Telle Jeanne D’arc je veux embrasser la cause.
Comme Cléopâtre je veux lutter,
Comme Sanite Belair je veux me battre.
De toutes mes forces Je Crie!
J’appelle a la rescousse les esprits de ces grandes Dames.
Soudain Tout s' éclaircit,
Les brumes de mon esprit, moins dense,
Les nuages perdent leur gris,
Le ciel gagne son bleu.
Et comme une sirène émergeant des flots, je resurgis.
J’élève mes bras vers le ciel ;
Je suis moi, liberee pour toujours.

Par : Natacha Gomez

Sonia PIERRE,
 militant Dwa Fanm, Dwa Moun, ki tonbe anba yon lanmò san avèti dimanch 4 Desanm 2011 lan. SONIA se te kòdonatris MOUVMAN FANM DOMINIkO-AYISYÈN –MUDHA. Nan SOFA, relasyon nou ak MUDHA remonte depi ane 1986, lè SOFA te fenk fòme. Okòmansman li te yon jan difisil pou nou te konprann batay SONIA tap mennen atravè MUDHA. Menm jan ak SOFA, li te jwenn bokote pa li, anpil kritik sou non òganizasyon an ki nan lang panyòl vle di BèBè. Sètalo SONIA pran baton peleren ni pou li eksplike : Se pa pa aza yo te chwazi non sa a… pou yo menm non sa a se te yon denonsyasyon pou montre jan Fanm Dominikèn ki gen orijin Ayisyèn pat gen okenn dwa, menm Dwa Lapawòl.Ak anpil pasyans li te mete li aladispozisyon nou pou esplike sans batay li tap mennen an pou fanm nan batey yo ka jwi tout dwa yo : dwa pou gen idantite, dwa pou al lekòl, dwa pou ale nan inivèsite sa vle di Dwa fondalnatal tout sitwayen ak sitwayèn nan tout peyi sou latè dwe jwi. Fòk nou di, jous nan lane 2010 konstitisyon peyi Repiblik Dominikèn te rekonèt la lwa tè a menmjan ak peyi Etazini, sa vle di : depi w fèt nan peyi a ou se Dominiken. Men lwa sa a valab pou tout lòt moun sòf pou moun ki gen orijin Ayisyen. E depi w pa gen idantite w, ou pa gen dwa anyen menm lè w ap pote kontribisyon w nan devlopman peyi sa a.SONIA pat pè retire baboukèt leta Dominiken te mete sou bouch fanm ak gason sa yo pou denonse tout abi, move tretman, eksplwatasyon, diskriminasyon sou dominiken ki gen orijin Ayisyen. Malgre menas sou lavi li, li te kontinye mennen batay sa an Repiblik Dominikèn, ni sou tribin Entènasyonal. Nan fen ane 1990 yo li te ranpòte yon gwo viktwa devan tribinal Entènasyonal Dwa Moun nan Costa Rica kote tribinal sa a te kondane Gouvènman Dominiken an pou vyolasyon dwa dominiken ki gen orijin Ayisyen yo. Depi lè a, Gouvènman Dominiken an pa sispann pèsekite SONIA nan fè menas ak tantativ kraponnay sou li. Men, okenn nan manèv sa yo pat fè l sispann defann kòz la, ni detounen l sou chimen pou defann dwa li, dwa fanm kòm moun nan peyi sa a. SONIA, jodi a nou menm nan SOFA NOU VLE DI W MÈSI !
  • Mèsi pou PASYANS ou paske w pa t janm bouke eksplike, edike tout moun toupatou kote w pase sou kondisyon malsite konpatriyòt ou yo ap viv sou yon tè kote yo fèt, men, otorite yo refize yo jwi okenn Dwa yo genyen kòm moun ;

  • Mèsi pou KOURAJ ou toujou montre malgre Pèsekisyon, Menas, Kraponnay ;

  • Mèsi pou DETÈMINASYON w paske ou pat janm kite okenn obstak detounen w sou chimen w te trase a ;

  • Mèsi pou KONVIKSYON w paske w toujou gen yon sèl verite ki toujou klè pou ou : Dominiko – Ayisyèn yo gen Dwa tankou tout moun e w ap batay jouk mayi mi pou reklame epi defann Dwa sa yo ;
Jodi a, SONIA ou kite nou, men kò w ak vwa w, ap tounen semans pou fè 100 lòt, mil lòt vwa leve pou di ABA Eksklizyon, Viv Dwa Moun, Viv Dwa tout Fanm, Tout Dominiko-Ayisyen, ak Ayisyèn. Yon lòt fwa ankò, SOFA di chapoba pou ou Fanm VANYAN ! Lit Fanm nan se Lit tout Mas Pèp la Pou SOFA ______________________Doktè Lise-Marie DEJEAN
Marie Jeanne

Compagne inséparable de Lamartinière, elle ne manque pas de se distinguer hautement à ses côtés dans cette « Crête à Pierrot assiégée par une armée française de plus de 12.000 hommes ». Sous la pluie des projectiles, Marie-Jeanne allait d'un bout à l'autre des remparts, tantôt distribuant des cartouches, tantôt aidant à charger les canons. Et lorsque l'action devenait plus vive, crânement elle se précipitait au premier rang des soldats et jouait de la carabine avec un entrain endiablé.

Femme indigène du Port-Républicain, Marie-Jeanne venait à chaque assaut que donnaient les français affronter la mort sous les remparts.

Après la mort de Lamartinière, Marie-Jeanne fut pendant quelque temps la maîtresse de Dessalines. Ce dernier l'aimait beaucoup à cause de sa vaillance, de sa beauté, de sa jeunesse. L'histoire ainsi que les oeuvres poétiques la présentent comme une redoutable vengeresse de la Crête à Pierrot. Marie-Jeanne, la personnification de l'héroïsme féminin aux jours de la naissance de la Patrie

Elvire MAUROUARD
Lieutenant Sanite Belair

Sanite, surnom de Suzanne, est une jeune affranchie originaire de Verrettes qui épouse en 1796 Charles Bélair, neveu, aide de camp et lieutenant bien en vue de Toussaint.

C’est en 1802, dans les retranchements escarpés des Matheux, théâtre, plus de deux mois durant d'une prise d'armes de son mari Charles Bélair contre l'expédition Leclerc, que cette jeune femme, révéla son étonnante énergie. En route, en effet, pour les mornes de l'Arcahaie, ils n'avaient pas parcouru un espace de cent toises que la citoyenne Sanite qui partageait contre les négriers toute la haine de son mari, déclara hautement qu'elle ne voulait pas donner des soins plus longtemps à un jeune blanc. Ce dernier, tué à coups de sabre par les soldats de la huitième: les autorités n'en publièrent pas moins après, que Sanite, la brigande, avait de ses propres mains, sabré ce jeune blanc.

Quelques mois après, Sanite est faite prisonnière. Désespéré et ne trouvant pas mieux que de se résoudre à partager la captivité de sa femme, Bélair se rend. Ils sont condamnés six heures après leur arrivée au Cap-Français. La commission, considérant le grade militaire de Charles et le sexe de Sanite, son épouse, condamna le dit Bélair à être fusillé et la dite Sanite, sa femme à être décapitée. Le jour de l'exécution, le 5 octobre 1802, Sanite, qui répugnait à mourir autrement qu'en soldat, exigea et obtint, non sans peine, de ses bourreaux d'être fusillée. Charles Bélair entendit avec calme la voix de son épouse l'exhortant à mourir en brave. Au moment où il portait la main sur son coeur, il tomba, atteint de plusieurs balles à la tête. Sanite refusa de se laisser bander les yeux; le bourreau, malgré ses efforts, ne put la courber contre le billot. L'officier qui commandait le détachement fut obligé de la faire fusiller

Elvire MAUROUARD

Women of Haiti... A better Future: Falling.It’s here that sensation of emptiness,...

Women of Haiti... A better Future:
Falling.


It’s here that sensation of emptiness,...
: Falling. It’s here that sensation of emptiness, they say hope makes you float, and I say heart pain makes you light. It’s this...

Falling.



It’s here that sensation of emptiness, they say hope makes you float, and I say heart pain makes you light.

It’s this point like the thin line when the sun goes to meet the ocean.

You start falling when your eyes wide open cannot focus on anything.

When you have to return on your steps several time to try to remember what you were doing or where you were going.

You start falling when you don’t care anymore about your appearance.

When dates, months, events have no meaning for you. You just try to survive and it’s amazing the strength that you still have to hold on to life

Falling is when you avoid company; it’s that sensation of wanting to be invisible to others, to not feel anything. When you start referring you or telling your stories and say it’s another person.

Falling is that feeling of chaos, chaos inside your head, too many roads, too many options; it’s a labyrinth with no exit... When you feel useless, when they make you feel like a failure.

Falling is that sensation of perpetual darkness, somber are the thoughts, somber are the clothes, somber is always the mood.

When dead wishes forms a halo on you, when you just don’t care anymore.

Falling is that sensation of guilt because maybe if you had accepted one more time to be the door mat maybe you could have been happier. When you know that you were not wrong from the beginning you had that intuition but you choose to chase it.

But,

One day, when you think that you’ve reach the bottom….

You start falling all over again,

It’s that sensation of lightness, when you feel like a diva

Falling is when your eyes met and you saw all the untold

Falling is that feeling of dizziness when he took you in his arms for the first time. When all that is important are not vital anymore because you feel that you have the essential with you.

Falling is that feeling of joy, when you smile for no reason. When the rain just gives you another reason to be in his arms, when the hot sun shows you that he cares because he protects you...

Falling is that feeling of hope, when everything, every color seams brighter.

Falling is being able to dream again, to day dream ,to play with little kids and enjoy their plays, to laugh at a joke you heard several times, to enjoy the elders company.

Falling is saying Grace to the Lord, because he gave you a second chance, it’s the gift of peace, the balm to soothe the pain of your broken heart, when you sense his pardon for all your sins.

Falling is that sensation of acceptance, when you know that you belong, that you have reached the port like the sailor after a storm.

Falling is that feeling of plenitude, when you feel the salt of the ocean on your lips even when you’re on top of a mountain. When you talk with him in your heart when he is away. When you know that soon you will be reunited.

Falling is knowing that living besides him, sharing and caring for each other is the way to be.

When you don’t fear death because in the afterlife you will be reunited.



By: Natacha Gomez




mardi 17 janvier 2012

Women of Haiti... A better Future: Tranches de Vie…….Un, elle était seule, ivredans...

Women of Haiti... A better Future:
Tranches de Vie…….
Un, elle était seule, ivredans...
: Tranches de Vie……. Un, elle était seule, ivre dans sa solitude, heureuse dans son silence, gargantuesque dans son esprit et pleine d...

Tranches de Vie…….

Un, elle était seule, ivre dans sa solitude, heureuse dans son silence, gargantuesque dans son esprit et pleine dans son corps.

Deux, tu es arrive tout feu tout flamme, comme Attila envahissant les Huns, conquérant comme Alexandre Le grand et de tes flèches comme cupidon tu l’as assiégée.

Trois, le chiffre magique pour lui, trois le nombre détesté par elle. Les amis, le travail, l’autre, tous compte pour un.

Quatre, les conseillers entrent en jeu, tout est déballé on veut repartir d’un bon pied, ciel étoilé, songes d’une nuit d’été.

Cinq, le calme plat, on poursuit son bonhomme de chemin, les promesses sont tenues, on pense arriver a la destination finale  et soudain a l’horizon un nuage de poussières.

Six, aux armes citoyens, du bec et des ongles elle se bat pour cet amour, pour ses rêves incompris, pour cette envie de vivre qui la tenaille, pour que cette douleur qui déchire ses entrailles cesse.

Sept, comme les sept péchés capitaux, il faudrait t’exorciser de son esprit, de sa vie, la traversée du desert elle est longue et difficile, en cours de route les mirages elle en a soupee.

Huit, a huis clos elle réapprend à se connaitre a s’aimer, a pardonner, a oublier et a te regarder te détruire, car le karma ne pardonne pas.

Neuf, comme un sou neuf, son cœur comme une fleur à peine éclose s’ouvre au soleil, les nuages se dissipent, le rire est communicatif, les aspirations sont communes.

Dix, le bonheur se conjugue a deux, on devient ,Un dans la plénitude, deux a faire route ensemble, trois en agrandissant la fratrie, quatre en faisant la paire, cinq comme les cinq doigts de la main, six le bonheur n’a pas de prix, sept en chantant la vie s’écoule tout doucement ,huit rien n’est parfait mais tout se complète, neuf on vise et on atteint , dix la plus belle note , tu fais partie de sa vie .


Women of Haiti... A better Future: Rainbow of my heart….White: was pure joy, I live...

Women of Haiti... A better Future:
Rainbow of my heart….
White: was pure joy, I live...
: Rainbow of my heart…. White: was pure joy, I lived on cloud nine, I had that feeling of contentment, the plenitude, it was good. ...

Rainbow of my heart….

White: was pure joy, I lived on cloud nine, I had that feeling of contentment, the plenitude, it was good.

Pink: was romance, I saw everything in pink, the goodness, the kind gestures, the soothing notes of this love concerto. I was happy!!!

Red: was the passion, we exist only for each other, being apart just for a few hours were unbearable.

Green : was the hope , the faith I had in our relation , I prayed, I wished, I was waiting to move forward, I could have had the biggest blog,  I talked so much about us , our dreams , our projects .

Yellow : I couldn’t believe it , not HER, not YOU, after all ,our souls have met , they had understood each other , NO , it wasn’t happening , that betrayal was worse than death.

Baby blue : was when I was avoiding reality , when I chose to not see, when I told myself that things will fall back into place , if I shower you with more love ,you will understand that there is still an US.

Beige: was when I tried to enter the justice league. I didn’t know I had the detective  senses or skills , I had the eyes of a sniper , I could beat the most powerful radar , I learned codes, I spoke in tongues, I bribed.

Fuchsia : was when maybe you remembered all that  happened  between us in the beginning , how happy we were , for a glimpse a became woman again in your eyes , you start courting me , I had faith and I start  to walk again with my nose in the air.

Orange: was fire and doubt, one day I was happy the next I was questioning and dissecting all your words, all your acts..i had that intuition I wanted to push it away but it was always there …under my skin , in my head, it was there like a guardian angel, it was part of me.

Brown : was when I slept and wake up , panting, crying ,cursing , its waking up with that feeling of persecution, that fear that never goes away , a fear that feels like someone is pursuing you in a dark alley and no help is available , looking for you , and once again I was alone in our bed.

Black : was the underworld  , I took comfort in sleeping pills , I became a night owl , I had the ability to look in the mirror and see someone else, I had the power to clone myself , looking at her  trying to survive, trying to put a happy face on everyday while dying inside and I had pity of her. It was worse than a drug addiction the need of YOU…

Café  au lait  : was the recovery , I was young , intelligent , beautiful, people liked what I was doing . Why I was allowing one person in an entire world full of others to destroy   ME. I start loving me, my flaws, and my qualities. And like seasons changing

 On my road to self discovery, I became whole; I became a strong woman, the one standing in front of you now saying NO, never again.

The one that knows the colors and the meaning of the RAINBOW.

samedi 14 janvier 2012

Me…





Thanks to God for this day, nothing is better after church than to be for a moment with your best friend, yourself…

Yes to talk to you...

At the park I tell her look at them, singles, families, friends, co-workers, street vendors imagine their life, their challenges, their fears, their hopes.

Talking to my best friend, feeling the air blowing thru my short African locks, I celebrate my uniqueness.

I celebrate me trying to fill that famous hole in the soul, that’s starting to fill up.

I celebrate time, the time that I’m able to spend, the time that so many people lack or avoid to be with themselves.

I celebrate beauty, the beauty of my surroundings, the beauty of the wings of that little bird who is waiting for a chunk of my chocolate cupcake, I envy his freedom, but here again I says to my girlfriend that the beauty of this day lays inside of me . It’s good to be able to say thank you to my lord for this day.

I celebrate friendship and family .it’s not easy to reach out, no it’s not easy to give a helping hand with generosity, with no envy, with no second thought. I celebrate it because to all of you my friend, I’m a true friend. To my family see me look at me with the eyes of the soul.

I celebrate compassion, I celebrate forgiveness but the memories will always live, they will not be bitter anymore.

I celebrate me , I love me , I love my flaws,. I love being a survivor; I celebrate the capacity to endure whatever life throws at me because I will fight back.

I celebrate the silence, lots of noise around me but its blissful silence, its warm, its inviting, its fresh, its beauty beyond imagination.

I celebrate joy, gratitude’s, hope, the willingness to be better each day, to help my babies, to help them grow, to lead and support them.

I celebrate the courage you gave me to stop running. To start over and I say to my girlfriend, we’ll go down to that road together , I know that I can fall but you will help , He is watching, He will give strength, He will give wisdom, He will pardon. And we will succeed.

I celebrate this day, the day that I accept, the day I realize, the day I saw ,the day that I let all my fears dies, the day that I felt whole, the rebirth

Today I celebrate LIFE…..

Natacha Gomez

My seven sins…



My  1st  sin , I looked at you, I didn’t saw you , I didn’t saw the real man , I heard the words  I wanted to hear , I saw the body , I didn’t reach the soul.

My 2nd sin was to let you enter the breech, to let you venture thru the door of my heart, you flew over the gates and you captivated me, my kingdom was siege.

My 3rd sin , was not confronting you when my clue turn into positive facts , to accept all your lies , letting you jangle with it from small details to important events

My 4th sin was to think that I could change you, that patience and love could turn the frog into a prince. I was so wrong; I was too virtuous for you.

My 5 Th sin was hiding, lying, and covering your acts, finding excuses, accepting part of the blames for you. I thought that was part of showing you how to be a couple.

My 6th sin was to think that deep inside, you were good and that one day you would have shown the world that they were mistaken but now we both know that you will never grow up 

My 7 sin was to let you get away with it so easily but time will prove me wrong because we also know that you’re lacking all that makes a real man…..







By …Natacha Gomez





Splish, Splash



 Oh ho! mommy  laughing and therefore  I’m bumping against those walls, wow, toboggan  time, 1st  turn to the right, and then to the left ,feet up arms spread. Wahoo!

I’m happy too.

Splish, Splash why the pool emptying? Feels funny, why all those pushing Hey I was comfortable, stop bugging me!

Moms complaining a lot! Well seams time to …Hey where am I?

Splish, splash hey that time it’s me in a tub with that funny silly yellow duck why are they yellow anyone they will be cute in blue .

Splish, splash ok there’s goes the concert it’s the sound of the slippery flip flop

Of the Alien, there’s a monster in our House.

Splish, splash wait! There’s thunder, a storm, or a tornado in our House?

But there’s nothing like that just us, except that my mom looks funny like those mardi- gras mask .One eye blue the other one almost close hi! Hi!  .

Wait my mommy is crying I don’t like that!

Splish, splash she makes funny noises but I don’t want to laugh, my heart is heavy and I want to take my blanket over my head and bite hard the alien ears.

Splish, splash that’s the sound of the fountain nearby, see all about my little life is connected with water.

Moms chatting, she is so beautiful today, her friends from the book store seams happy too but I really don’t like Kristie her best friend daughter always drooling over me, and yes I’m the duke of this neighborhood.

Splish, splash a drop of rain on my forefront mom “s took me in her arm but there’s a dark cloud over our head …the Alien is here

Splish, splash like a clown of the little jewelry box that he gave mom and that I kick by mistake of course and crash on the floor and I felt light , those clashing sounds again, not clashing we are not at the house. And the silence, a dark silence, wheres mommy? It’s like a dark river is coming toward me.

Splish splash mommy’s breath does that , this time I think it’s worse , I hear people screaming, I cried usually she answers , help , I want mommy, nobody understand my language.

Splish splash the Alien is still there, I want to hide, but who will stay with mommy

Splish splash, NO its click, clack we are free, the Alien is pushed into a white, blue and red car with lots of lights. The lucky Guy, I just love those cars.

 Natacha Gomez....